Sabine Venaruzzo
Poésie
REQUIEM POUR GAZA
Un collectif des 30 poètes : Khaled Jbour, Ronny Someck, Nathalie Quintane, Caroline Boidé, Serge Pey, Olivia Elias, Fady Noun, Aymen Hacen, Sabine Venaruzzo, Madeleine Lenoble, Vincent Calvet, Michel Cassir, Claudine Bertrand, Julien Blaine, Josyane de Jésus-Bergey, Adam Fathi, Bruno Geneste, Anat Zécharia, Nadine Agostini, Paul Sanda, Isabelle Moign, André Robèr, Anne Letoré, David Barabi, Françoise Pelherbe, Maram al-Masri, Mati Shemoelof, Aïcha Moghrabi, Didier Manyach, Monia Boulila, Marianne Catzaras, Bernard Noël, Julien Boutonnier, Annie Salager, Nicole Peyrafitte, Patrick Quillier, Janine Gdalia, Sylvie Ringard.
Découvrez ma contribution avec le poème
Ma Terre Mater
Editions Color Gang, collection Urgences
Parution : novembre 2018
« Ce livre est né de notre volonté commune de ne pas rester sans voix face au massacre de Gaza de mai 2018. Projet né au début de l’été 2018, il s’est concrétisé au cours du Festival Voix Vives de Sète. Nous avons sollicité un certain nombre de poètes israéliens, arabes (Tunisie, Palestine, Syrie, Lybie), et français. Plus d’une trentaine de voix parmi les plus profondes, de la France au Moyen-Orient, d’est en ouest, font entendre leur indignation face à l’épuration ethnique à bas bruit subie par les Palestiniens aujourd’hui. Le sort réservé aux habitants de Gaza, après Plomb durci, Opération Rempart, et le massacre de mai 2018, oblige à opposer à la violence et au racisme une parole de paix, un grand OUI à la vie, un grand NON à la mort. Sous l’égide du grand poète arabe et universel Adonis, qui préface ce recueil, les poètes s’unissent pour opposer leur poésie aux paroles et actes mortifères du gouvernement israélien actuel. Il est probable que cette initiative ne plaira pas à tout le monde, mais il est temps, en France, que nous redonnions la parole à ceux qui vont dans le sens du droit, de la justice, de la paix. Nous devons bien cela à nos camarades palestiniens. Nous ne savons pas si la poésie « sauvera le monde », comme l’écrit Jean-Pierre Siméon, mais du moins elle peut opposer son refus à la barbarie. »
Vincent Calvet et Aymen Hacen
NOTE DE LECTURE
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La Cause Littéraire, note de lecture de Didier Ayres
PRESSE